- La défense des intérêts de nos clients privés et professionnels est notre priorité.
- Nous privilégions la qualité à la quantité.
- Maître Pierre-Paul Renson est un avocat spécialiste (reconnu par le Conseil de l’Ordre) dans plusieurs matières. Ce qui est un gage de connaissances et pratiques spécifiques.
- Pour nous, « nulle pratique n’est efficace sans connaissance théorique et nulle théorie n’est efficace si elle est déconnectée de la pratique« . Ce qui explique pourquoi notre cabinet concentre l’essentiel de ses activités dans les matières où Maître Renson publie scientifiquement et enseigne.
- Nous avons refusés d’être les avocats habituels de diverses compagnies d’assurance. Nous sommes donc totalement indépendants vis-à-vis de ces tiers payants, sachant que leurs intérêts ne sont pas identiques à ceux de leurs assurés.
- Nous traitons personnellement nos dossiers. Ce qui n’exclut pas l’intervention d’avocats collaborateurs externes pour réaliser l’une ou l’autre prestation ponctuelle (exemples : pour postuler une remise ou faire acter un calendrier de mise en état).
- Nous sommes les interlocuteurs directs de nos clients.
- Nous avons une grande expérience du règlement professionnel des litiges et de la négociation raisonnée, notre cabinet ayant été fondé en 1975.
- Nous mettons tout en œuvre pour que nos clients soient en mesure d’évaluer les risques et de décider en pleine connaissance de cause comment défendre leurs droits et intérêts en tenant compte notamment des aléas, coûts et durée des divers modes de règlement de litige.
- Nous incitons et aidons nos clients à opérer constamment un calcul coûts/intérêts des décisions qu’ils prennent dans le règlement de leur litige. Ce qui leur permet de privilégier parmi les options existantes, celles qui sont les plus efficaces et les plus raisonnables (notamment sur le plan économique).
- Nous privilégions autant que possible la conclusion d’accords amiables dans l’intérêt de nos clients et dans le cadre de négociations raisonnées en lieu et place de procédures (judiciaires, administratives ou autres) aléatoires, longues et coûteuses.Habituellement, minimum 2 dossiers sur 3 se concluent par un accord amiable, le cas échéant après l’une ou l’autre décision (judiciaire, administrative ou autre).